e 5 octobre 2020, le Tribunal de Première Instance d’Anvers a rendu une décision cruciale dans une affaire mettant en question l’intégrité des locataires sociaux. Il s’agissait ici de la possible possession de biens immobiliers à l’étranger.
De l’enquête menée par un bureau inconnu, il est apparu que certains locataires avaient effectivement des biens immobiliers enregistrés à leur nom à l’étranger. Cela a résulté en un nombre significatif de terrains et d’appartements qui se sont avérés être en partie la propriété de l’un des appelants.
Le Tribunal d’Anvers a confirmé que la dissimulation de tels biens immobiliers constitue une grave violation de la réglementation concernant la location sociale. Cette infraction a conduit à une réception injustifiée d’avantages sociaux d’une valeur de milliers d’euros au fil des ans.
Les appelants ont tenté de contester la demande du demandeur en se référant à certains documents et au droit à la vie privée. Cependant, ces défenses ont été rejetées par le tribunal.
Le jugement du tribunal du 5 octobre 2020 a abouti à :
- La confirmation du fait que les locataires avaient indûment obtenu des avantages sociaux.
- L’obligation pour les appelants de rembourser l’avantage indûment obtenu, soit un montant de 13.210,07 euros, au demandeur.
- Le rejet des demandes supplémentaires concernant les frais du rapport et sa traduction.
- Ce jugement met en lumière l’importance de la transparence et de l’honnêteté dans la réglementation de la location sociale et les éventuels abus de celle-ci par les locataires.
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